Aubes et crépuscules
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Personne ne peut définir l'origine des Coulsh mida. Eux mêmes, après chaque stade de leur évolution renient leur passé primitif. La civilisation Coulsh mida progresse par bond. A l'aube il né un petit Coulsh mida qui sera l'un maillon de leur progression et ils resteront des dizaines d'année (voire des centaines) à ce niveau jusqu'à l'arrivée d'un autre élu. A chaque fois ce dernier fait avancer les Coulsh mida jusqu'à la dégénéressence. Puis le groupe des femmes demande le sacrifice et l'élu est offert au Mouvglass.
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L'aube Coulsh mida ce paradoxe : On détruit le progrès.
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Maem Pev (le centre), astre sacré pour les Coulsh Mida, irirse les parois rugueuses de Maash Poh.
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Mtor l'aube stable.
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Au couchant les méduses volantes ont regagnées leurs tannières de vase. Soagbur ne peut digérer tout ce quelle touche par manque de lumière. Laagov est une forme de cnidaire. Les cnidaires sont des animaux relativement simples spécifiques du milieu aquatique ; on y retrouve, entre autres, les coraux, les anémaunes de mer et les méduses. L'hydre n'a pas de squelette, c'est un polype qui vit en eau douce, qui possède 8 à 10 tentacules urticants et qui régénère rapidement les parties qui lui sont enlevées.
L'hydre est un pluricellulaire complexe d'apparence végétale. Génétiquement il est le seul être vivant dont on ne comprend pas le vieillissement, on le considèrent comme immortel, notamment grâce à ses capacités régénératrices.
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Le léopard ! C’est ainsi que nous appelons le ciel au dessus des récifs de Maaz Glam quand se couche Maem Pev (le centre). Pour les Coulsh mida le sens du mot léopard n’a aucune signification puisqu’ils ne peuvent imaginer le concept même du félin. Seul compte Vidash poh et Maem Pev. Avant la nuit les sangsues sont pleines de crustacés et du sang des baleines orvet. Dans les embarcations on charge au croc les Vidash poh.
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Le mont le plus haut de Mtor.Â
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Laagov hydre géante grouille, dévore et combat. Rien ne l'empêche de se reproduire.
- La reproduction asexuée par bourgeonnement.
Il faut que deux conditions essentielles soient réunies pour que l'hydre se reproduise de cette façon : la température de l'eau doit être adéquate, et la nourriture abondante. Si c'est le cas, alors, une petite excroissance (diverticule de la cavité digestive) apparaît vers le tiers du corps de l'hydre. Cette excroissance grandit en formant une sorte de bourgeon. Celui-ci va s'ouvrir au bout en formant une « bouche » qui se garnira par la suite de tentacules. Finalement, ce bourgeon possède toutes les caractéristiques d'une hydre normale, et ainsi, le bourgeon va se séparer de l'hydre pour « mener sa propre vie ».
La fécondation est externe, les gamètes mâles et femelles sont lâchés dans l'eau et constituent des nouveaux individus. Cette reproduction a lieu à la fin des bonnes conditions climatiques (automne).
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